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 Les conte de Lucky

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Lucky-Thirteen
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Lucky-Thirteen


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MessageSujet: Les conte de Lucky   Les conte de Lucky Icon_minitimeJeu 15 Oct - 22:52

La fièvre d'Ussam d'Yssoire

Lorsqu'on croise les croassement d'un bwak avec les mugissements d'un trool, on obtient une musique que les amaknéens appellent le bwak'n'trool. Et si l'on greffe dessus les accords d'une harpe en pierre de craqueleur, on appelle ça du harp'rok.

Je m'en vais vous conter l'histoire du plus grand bwak'n'trooler de tous les temps, du champion incontesté du harp'rok : Ussam d'Yssoire.

Ussam naquit un peu au nord de Bonta, dans une banlieue assez BCBG, pour ne pas dire assez coincée du derrière. Les parents d'Ussam adoraient la musique, la VRAIE musique, genre Francis Kabroule ou Pratick Cruelle avec des textes en bon amaknéen et de fins assaisonnements de guitares sèches (remarquez, une guitare plongée dans l'eau est injouable dans tous les cas, ne tentez même pas l'expérience). Ussam lui se foutait totalement de la musique : il s'ennuyait ferme dans sa banlieue coincée et rêvait d'aventures.

Ussam était Enutrof, et comme nombre de ses semblables, il avait un don inné pour trouver de l'argent. Ce don, chez lui, était d'autant plus vital qu'il y voyait la porte de sortie à son mortel ennui. Son père, Jépah d'Yssoire, a raconté qu'un jour, Ussam disparut et qu'il ne donna plus signe de vie durant dix ans. Ce fut certainement durant ces dix années "sombres" qu'Ussam découvrit l'attrait de la musique et qu'il devint le bassiste extraordinaire que l'on connaît.

Ussam avait quitté son milieu branché bontarien pour aller tenter l'aventure dans les bas-fonds de Brakmar. Là, il fit la connaissance de Hell Vice, appelé "le roi" par ses fans et maitre du bwak'n'trool. Ce fut le début de la décadence pour l'énutrof. Bien avant l'heure, Ussam connaissait une fièvre qui dépassait celle de l'or : la fièvre du son. Ussam rejoignit le groupe de Hell Vice, martelant les quatre cordes en boyau de dragodinde de sa contrebasse. Durant des années, il prit son pied, puis Hell Vice grossit, se mit à prendre de l'eupeoh pour bouloute, se couvrit d'une épaisse couche de laine, avant d'exploser comme un tofu bombe. Peiné, Ussam enveloppa sa contrebasse, la remisa chez un ami et partit vers les montagnes du Nez Pale, là ou les bonzes koalaks dispensent leur sagesse. Il faut dire que c'était la grande mode à l'époque pour les musiciens en mal-être.

Hélas pour Ussam, son sens de l'orientation était loin d'égaler ses dons musicaux ou ses talents de chercheur de trésors. Arrivé à l'embranchement de la nationale 4 et de la départementale 37 bis (tourner à gauche et puis tout droit), il fila droit à l'est au lieu de prendre vers le nord... Il se retrouva dans un marais hostile peuplé de crocodailles vêtus de cuir noir et cloutés comme des planches de fakir. Et le pire était à venir. Ayant évité tant bien que mal les habitants du cru, Ussam se fit piquer par un moskito mutant et connut les joies de la chtouille des marais, aussi connue sous le nom de gratouille palustre ou encore chez les bworks sous le sobriquet de "gratgrat du marékipu". Cette maladie force sa victime a gratter violemment ce qu'il a sous la main, sinon, une fièvre intense le dévore et seule une danse vaudou peut calmer la crise avant qu'il soit trop tard... Bref, c'est pas la joie.

Ussam gisait inconscient et délirant, semble-t-il promis à une mort lente et bien douloureuse, quand un crocodaille, un de ces reptiles hirsutes et cloutés, vit le petit bonhomme le nez dans la vase...

"Bordel, mais c'est le bassiste du grand Hell Vice!!!" s'écria le saurien. "Hééé mec, réveille toi... t'es pas bien ou quoi?"

"Wababedoula belape Bame Boule" délira Ussam.

C'était grave, il restait vraiment peu de temps. Le croco chargea Ussam sur son dos et l'emmena dans son village "Crocodaille Roks". La tribu crocodaille en entier se mit alors à danser au son sauvage de la harpe et des percussions. Une folle cérémonie de harp'rok vaudou qui n'épargnait ni les oreilles ni les cordes vocales. La fièvre d'Ussam d'Yssoire venait de tomber et son amour de la musique venait encore de monter d'un cran. En signe de reconnaissance, il offrit à son ami crocodaille une barbe postiche identique à la sienne, il se mirent à écrire des tas de titres ensemble : "Stère, ouais, tout event", "Aie, ouais, tout elle" ou encore "See you later Alligator". Il leur fallait un nom, une bestiole ridicule le leur fournit volontiers : le groupe s'appellerait Zizi d'taupes.


Les conte de Lucky Ussam10


Dernière édition par Lucky-Thirteen le Jeu 15 Oct - 23:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les conte de Lucky   Les conte de Lucky Icon_minitimeJeu 15 Oct - 22:59

c'est extra Wink
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Lucky-Thirteen
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MessageSujet: Re: Les conte de Lucky   Les conte de Lucky Icon_minitimeJeu 15 Oct - 23:18

Les conte de Lucky Douagb10

Doué Gbert, le Trooléfacteur

Farle Ingalsse est réputé pour bien des choses, et l'une d'entre elles est la plantation de piquets. En fait, Farle a planté tant de piquets dans sa longue vie qu'on se demande comment il reste des espaces libres. Pourtant il en reste.

Farle n'est pas la seule personne qui ait été inspirée par l'art du maillet. En effet, un certain trool du nom de Gbert l'avait observé durant longtemps. Dans la tête du trool, évidemment, l'action de planter ne s'associaut pas forcément à des piquets en bois. Ce que les trools adorent planter, ce sont les aventuriers. Gbert n'était guère différent des autres trools sinon que...

Quand on plante un Iop,
Il éclate comme un blop
Quand on plante un éca,
Il se fend en trois
Quand on plante un eni,
C'est vraiment trop petit
Quand on plante un panda,
Il se met de guingois
Quand un plante un enu
On se le rentre dans le c...
Héhé...
Mais si on plante un féca,
Il reste bien droit.

Gbert délaissa donc les aventuriers pour centrer son matraquage publicitaire sur les fécas.

Bientôt les environs de Litneg se couvrirent de fécas plantés en rangs d'oignon, avec entre les fesses un panneau indiquant :
"Vizité Litneg an nivert, sé plu charman" - Personne n'en doute, n'est ce pas? Les aventuriers ne se pressaient pas pour visiter malgré cette campagne publicitaire plus que voyante. C'est que les trools ont une fâcheuse réputation de briseurs de noix et les aventuriers tiennent à les garder entières. Il faut bien en garder pour les bwaks, bworkys et autres familiers.

Néanmoins, cette florissante plantation n'était pas du goût de tous, et surtout pas de celui de Clustus, roi de Bonta. Il envoya la milice afin de se débarrasser de cet "odieux spectacle qui blesse la vue et heurte le regard" - car les rois aiment les phrases longues qui ne font que répéter des lieux communs. Ce qui fut fait : la milice s'arma de torches et mit le feu aux plantations de fécas, les réduisant en cendres. Une délicieuse odeur de féca grillé planait dans l'air... Il se mit alors à pleuvoir comme jamais il n'avait plu en Amakna (où il ne pleut normalement jamais, je vous le rappelle). L'eau dégoulinant sur le sol s'imprégna des effluves de féca grillé et forma, de ci, de là, des flaques d'un noir d'encre.

Gbert était anéanti par la perte de sa plantation et pensait déjà à aller raser Bonta, quand attiré par l'arôme d'une flaque, il eut la curiosité d'y goûter. C'était super bon, et une fois réchauffé encore meilleur!

Gbert en oublia sa vengeance et commença à expérimenter avec ce breuvage. En y versant de l'eau bouillante, ça devenait encore plus fin, et on pouvait y ajouter du miel, du susucre, du lailait... Pas des oignons car ça se marie mal avec le féca.

Gbert raffina aussi le grillage de fécas qui prit le nom de trooléfaction. Un féca bien trooléfié donne un féca de première qualité. Bien moulu entre deux pierres plates, il fournit un nectar qui en plus réveillerait un chafer.

C'est ainsi, que, dans notre bon pays d'Amakna, non loin de la cité de Bonta, un trool un peu moins frustre que les autres inventa un breuvage qu'aujourd'hui encore Ness Lay, l'alchimiste, tente veinement de reproduire avec son Ness'Féca.
Aucun féca n'aurait pu égaler celui du doué Gbert.


Note de l'auteur : Cette histoire rocambolesque et néanmoins authentique me fut racontée par Gbert en personne alors que je partageais sa cellule dans les geôles de Bonta.
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MessageSujet: Re: Les conte de Lucky   Les conte de Lucky Icon_minitimeJeu 12 Nov - 19:57

Les conte de Lucky Meulou10
Le Meulou Mélomane


Souvent on les entend hurler à la lune, et il faut bien l'admettre, souvent ils nous cassent les oreilles avec leurs cris déchirants, discordants et dissonants... Toutefois, il y a bien longtemps naquit un meulou dont le chant suave était un ravissement pour les oreilles autant qu'un présage de terreur indicible. Ce meulou avait pour nom Wolfgang, mais il fut vite surnommé Mozart par les habitants en raison de son épouvantable odeur de fromage (on ne peut pas être agréable à tous les sens mon bon ami). En effet lorsqu'on le sentait, souvent trop tard, on s'exclamait : "Mozart est là !". Ce cri devait d'ailleurs donner le nom à un fromage qui ne sent pas. Etrange mystère de la raison humaine dont nous n'étudierons pas les causes.

Wolfgang, le meulou mélomane, naquit d'une meulouve ordinaire et d'un meulou des montagnes. La grotte de ce meulou est d'ailleurs encore visible au sud du zaap d'Amakna si vous aimez les excursions familiales. Les meulous des montagnes, contrairement à ceux des plaines, savent chanter et même chanter juste. On suppose, mais c'est loin d'être prouvé, que ce talent est dû à la proximité des sites de nidification des kwaks. Le père de Wolfgang avait pour nom Louwopold, il était déjà bon chanteur, mais son fils allait le surpasser en tout. Lorsqu'il avait 6 ans, Wolfgang fut présenté au roi des bworks par son père. Le jeune Wolfgang, qui était très bricoleur, entrepris de se confectionner un... Un truc en os de tailles diverses qui ressemblait furieusement à un piano !
Frappant les touches avec entrain, il improvisa une petite sonate au clair de lune, sous le regard médusé et admiratif des bworks.
"Kom sé bô, fit le roi des bworks, on diré le chan de la prinsess Allisteria avan ke le bouro la koup en rond d'elle" (Et de fait, ce chant du cygne, interprété par une jeune fille, est resté célèbre même en dehors du village bwork).

Wolfgang fut ensuite présenté à tout le gratin du monstromonde : le Maître Corbac lui fit un triomphe, le Sphincter Cell fit graver dans la pierre l'intégrale de ses oeuvres en priant qu'un jour on invente le tourne pierre pour écouter à nouveau ces fantastiques symphonies. C'était un triomphe, Wolfgang avait un harem de meulouves à ses pieds, il prenait des bains de lait de bouftou (ce qui lui donnait cette odeur de fromage tant appréciée de certaines et redoutée d'autres), il avait même un superbe donjon rien que pour lui ou ses fans les plus ultimes, essentiellement canins, venaient tenter, tant bien que mal, de reproduire ses oeuvres.

Mais les belles histoires ont toujours une fin tragique... Le sale Yéri, un musicien brakmarien, violent, alcoolique et puant, prit ombrage du succès de Wolfgang Mozart. Il monta une expédition et traversant les landes de Sidimote, ils arrivèrent en vue du donjon. Ce fut un carnage. En ce jour funeste, la population de canidés vit ses effectifs chuter de moitié. Le sale Yéri massacrait les ouginaks, kanigrous et mulous avec son violon en pierre en éructant : "Je voue mes nuits à l'assassin Fonie!". On ne sut jamais qui était ce Fonie, mais il doit se retourner dans sa tombe s'il sait ce que fit Yéri en son nom.

La confrontation entre Yéri et Mozart fut brève, Mozat mourrut en entamant une symphonie inachevée, non sans blesser profondément ce sale Yéri qui notait, le fourbe voleur, les dernières envolées lyriques du génial Meulou...

Ainsi mourrut Mozart le meulou mélomane. Quant à Yéri, personne ne sait ce qu'il est devenu... On murmure que son rire dément éclate parfois dans le cimetière de Brakmar...
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